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Médiation

« Ne coupe pas les ficelles quand tu pourrais défaire les nœuds »Proverbe indien

modéracom’

Dénouer les conflits

Les conflits font partie de la vie. Ils sont inévitables et même souhaitables tant qu’ils ne dégénèrent pas. Bien gérés, ils permettent de clarifier une situation confuse, de favoriser des solutions créatives, de parvenir à un nouvel équilibre.

Mal gérés, ils provoquent l’évitement, la fuite, l’agressivité, le blocage, la démotivation, l‘absentéisme, le harcèlement moral, le burn out, la souffrance…

Les coûts humains sont considérables. Les coûts économiques également puisqu’on estime que les conflits chroniques non réglés généreraient une perte de productivité de 25% dans l’économie et seraient un facteur décisif dans plus de la moitié des départs de salariés.

modéracom’

Pourquoi la médiation ?

Deux options sont possibles en situation de blocage relationnel : la violence ou le recours à un tiers. Ce tiers peut être le juge, le manager, le parent ou l’arbitre, qui vont écouter les parties en conflit et trancher en imposant une décision censée résoudre le différend. Ces approches sont souvent utiles : on peut avoir envie, et besoin, que son adversaire soit condamné par la justice !

Mais le litige est presque toujours un symptôme, la partie émergée d’un iceberg. Le juge peut obliger votre voisin à tailler sa haie, le manager peut faire acte d’autorité pour régler un différend récurrent entre deux salariés, mais il y a fort à parier que d’autres litiges surviendront. Sauf à déménager ou à quitter l’entreprise, il est nécessaire de restaurer la relation pour à nouveau vivre en bon voisinage ou poursuivre sereinement son activité professionnelle au sein de l’entreprise.

modéracom’

Comment ça marche ?

Le médiateur est le tiers neutre, impartial, qui met en place un processus structuré permettant aux parties en conflit de s’écouter dans un cadre sécurisé, puis de se comprendre. Elles seront alors en capacité d’identifier par elles-mêmes des solutions à leur problème, toujours en présence du médiateur.

La médiation peut être « conventionnelle » ou judiciaire, c’est-à-dire proposée par un juge. Elle implique généralement deux personnes en conflit, mais parfois plus de protagonistes. Dans un certain nombre de situations, la présence des avocats des parties est possible et souhaitable, non pour s’exprimer à la place de leurs clients mais pour valider les implications juridiques de l’accord trouvé.

Z

La demande

La démarche de médiation peut être initiée par l’une des parties en conflit, plus rarement les deux, ou par un tiers (employeur ou médecin du travail par exemple). Dans tous les cas, les parties s’engagent en médiation sur une base volontaire, après avoir été informées du cadre de la médiation et des règles inhérentes à son bon déroulement : écoute et respect, confidentialité absolue, liberté de mettre fin à tout moment au processus.

w

Le processus

En pratique, une médiation débute par un entretien individuel (parfois plusieurs) entre le médiateur et chacune des parties. Elle se poursuit par une réunion de médiation rassemblant les parties avec le médiateur. Une réunion de médiation dure généralement entre 2 et 3 heures. Plusieurs réunions de médiation sont parfois nécessaires pour parvenir à un accord.

Le coût

La rémunération du médiateur est fixée en amont, sur la base du temps passé estimé. Elle est le plus souvent prise en charge à parts égales par les parties (ou par l’employeur le cas échéant).

modéracom’

Comment ça marche ?

Le médiateur est le tiers neutre, impartial, qui met en place un processus structuré permettant aux parties en conflit de s’écouter dans un cadre sécurisé, puis de se comprendre. Elles seront alors en capacité d’identifier par elles-mêmes des solutions à leur problème, toujours en présence du médiateur.

La médiation peut être « conventionnelle » ou judiciaire, c’est-à-dire proposée par un juge. Elle implique généralement deux personnes en conflit, mais parfois plus de protagonistes. Dans un certain nombre de situations, la présence des avocats des parties est possible et souhaitable, non pour s’exprimer à la place de leurs clients mais pour valider les implications juridiques de l’accord trouvé.

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La demande

La démarche de médiation peut être initiée par l’une des parties en conflit, plus rarement les deux, ou par un tiers (employeur ou médecin du travail par exemple). Dans tous les cas, les parties s’engagent en médiation sur une base volontaire, après avoir été informées du cadre de la médiation et des règles inhérentes à son bon déroulement : écoute et respect, confidentialité absolue, liberté de mettre fin à tout moment au processus.

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Le processus

En pratique, une médiation débute par un entretien individuel (parfois plusieurs) entre le médiateur et chacune des parties. Elle se poursuit par une réunion de médiatition rassemblant les parties avec le médiateur. Une réunion de médiation dure généralement entre 2 et 3 heures. Plusieurs réunions de médiation sont parfois nécessaires pour parvenir à un accord.

Le coût

La rémunération du médiateur est fixée en amont, sur la base du temps passé estimé. Elle est le plus souvent prise en charge à parts égales par les parties (ou par l’employeur le cas échéant).

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Rien à perdre,
tout à gagner !

S’engager en médiation n’est pas une démarche qui va de soi. D’abord parce qu’on doute qu’elle puisse être couronnée de succès – l’autre n’acceptera jamais de reconnaitre ses torts. Ensuite parce qu’on redoute la confrontation avec son adversaire (son ennemi ?), et le flot d’émotions plus ou moins contrôlables qui l’accompagneront inévitablement. Enfin parce que, sûr de son bon droit, on peut préférer « faire payer » la partie adverse (parfois au sens littéral du terme, par exemple en lançant une procédure aux prud’hommes) plutôt que de s’engager dans une démarche de règlement amiable.

Il n’y a pourtant rien à perdre en entrant en médiation :

R

Parce que le cadre est sécurisé. Le médiateur garantit un climat d’écoute et de respect, sans agressions verbales. Chacun dispose de tout le temps nécessaire pour exprimer ses points de vue, ses ressentis, ses besoins. La seule présence du tiers neutre et impartial qu’est le médiateur suffit souvent à créer les conditions favorables à un retour du dialogue.

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Parce que le processus est structuré, fondé sur des techniques qui ont fait leurs preuves. Par sa posture, son écoute, sa déontologie, ses qualités humaines, sa formation et son expérience, le médiateur donne à la rencontre toutes ses chances de succès.

R

Parce que la médiation est un processus confidentiel. Rien de ce qui est dit en médiation ne peut être dévoilé sans que les deux parties ne le décident. Le médiateur est par ailleurs tenu au secret professionnel. Un avantage décisif lorsque les parties (par exemple des entreprises) ont besoin de préserver une réputation qui pourrait être ternie en cas de procès sur la place publique.

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Parce que la médiation est synonyme de liberté. Liberté d’y entrer mais aussi d’en sortir à tout moment, sans justification et en conservant la confidentialité des échanges. Aucune des parties n’est contrainte de signer un accord si elle ne le souhaite pas. Il est possible à tout moment de reprendre ou d’initier une procédure devant un tribunal.

R

Parce que la médiation est efficace, avec un taux d’accord approchant les 85%. Les accords étant définis par les parties elles-mêmes, en toute liberté, leur taux de respect est quasiment de 100%.

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Parce que la médiation est rapide et peu onéreuse. Quelques semaines et quelques centaines d’euros sont généralement suffisantes. A comparer aux frais générés et à la durée des procédures dans des tribunaux engorgés (plus de 18 mois d’attente en moyenne pour une procédure aux prud’hommes), sans certitude d’avoir gain de cause.

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Parce que la médiation suspend l’ensemble des prescriptions légales.

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Parce que ses bénéfices sont durables, notamment lorsque les parties en présence ont un intérêt à poursuivre une relation, dans un cadre commercial notamment.

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Parce qu’elle permet de retrouver la paix et la sérénité, de tourner la page en repartant de l’avant. Et au final de préserver sa santé.

modéracom’

Notre offre

Vous êtes salarié, chef d’entreprise, responsable des ressources humaines, directeur d’une association professionnelle, particulier … vous êtes impliqué dans un conflit à titre personnel ou professionnel, au sein de votre entreprise ou de votre organisation (par exemple en cas de signalement de harcèlement moral ou de rupture conventionnelle contestée …) ou avec une autre entreprise (notamment dans le cadre d’une relation contractuelle client/fournisseur) :

1.

Un premier entretien confidentiel et gratuit avec un médiateur vous permet d’exposer la situation et d’évaluer les bénéfices à attendre –ou non- d’une démarche de médiation.

2.

Si cela est nécessaire, nous nous chargeons de prendre contact avec les parties et leur proposons d’entrer en médiation (ou avec l’autre partie si vous êtes vous-même impliqué dans le conflit). 

3.

Une convention de médiation précisant les modalités de la médiation (engagement de confidentialité, calendrier des réunions, présence éventuelle d’avocats, tarification et répartition des honoraires + frais éventuels) est transmise pour accord aux parties.

4.

Le médiateur rencontre individuellement chacune des parties (1 à 2 heures d’entretien).

5.

La réunion de médiation proprement dite est organisée, si possible dans un lieu neutre (location de salle possible) – 2 à 3 heures de réunion.

6.

Programmation d’une seconde réunion de médiation si nécessaire.

7.

Rédaction le cas échéant d’un protocole d’accord avec l’aide du médiateur (et possible homologation auprès de la juridiction compétente pour lui donner une force exécutoire).

8.

Suivi à 2-3 mois, à l’initiative du médiateur.